Les working poors : Différence entre versions
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deux enfants, 16% chez les familles avec trois enfants ou plus et | deux enfants, 16% chez les familles avec trois enfants ou plus et | ||
grimpe à 19% chez les personnes élevant seules des enfants. | grimpe à 19% chez les personnes élevant seules des enfants. | ||
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qui gagnent moins que cette somme mensuellement sont dites | qui gagnent moins que cette somme mensuellement sont dites | ||
à '''revenu modeste'''. L’Etat les aide quelque peu en les déchargeant | à '''revenu modeste'''. L’Etat les aide quelque peu en les déchargeant | ||
de leur charge fiscale. | de leur charge fiscale. | ||
Version actuelle datée du 3 août 2021 à 16:57
En 2011, le seuil de pauvreté est fixé en Suisse à 2'495 CHF pour une personne seule, 5'240 CHF pour un ménage avec deux adultes et deux enfants. Il permet d’assurer les besoins de base, le loyer et les frais de santé. A cette même période, 660’000 personnes (environ 8% de la population) étaient touchées par la pauvreté.
Une personne qui travaille mais qui ne parvient pas à obtenir un salaire la préservant de la pauvreté fait partie des working poors, autrement dit des travailleurs pauvres. Les principales victimes sont :
- les familles monoparentales,
- les grandes familles,
- les femmes et jeunes adultes sans formation,
- les étrangers.
Le taux de working poors est de 9% chez les familles ayant
deux enfants, 16% chez les familles avec trois enfants ou plus et
grimpe à 19% chez les personnes élevant seules des enfants.
Il y a un autre seuil, c’est celui des 4'335 CHF. Les personnes
qui gagnent moins que cette somme mensuellement sont dites
à revenu modeste. L’Etat les aide quelque peu en les déchargeant
de leur charge fiscale.
